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Christian Flèche, psychothérapeute, père de la théorie du Décodage Biologique


"Chaque organe endommagé correspond à un sentiment "

Christian Flèche

Article original : du 22 dec 2014 - journal Espagnol : Lavanguardia

traduction française :

"Chaque organe endommagé correspond à un sentiment "

Article journal Lavanguardia – dec 2014

« J’ai 53 ans. Je suis né à Arcachon et je vis en Provence.

Marié, trois enfants. Je suis infirmier D.E. de profession[. ]

Les relations humaines m’intéressent.

Ma religion est de vivre le moment présent et comme Jung,

je crois que la maladie est l'effort de la nature pour soigner le corps.»

Les émotions Les maladies sont une tentative d'auto-guérison, une réaction biologique de survie en face d'un événement connecté à une émotion incontrôlable. N'importe quel organe endommagé correspond à un sentiment précis et a une relation directe avec les émotions et les pensées.

Près du docteur Philippe Levy, C.Flèche a créé de nouveaux protocoles pour organiser une méthode de diagnostic émotionnel et une nouvelle forme de thérapie brève qui cherche dans les émotions l'origine et la solution aux maladies. Il a publié 17 livres sur le décodage biologique, quatre d'entre eux traduits sont en Espagnol. « Le corps comme outil de guérison » a déjà vendu trois éditions

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Le corps est-il notre outil de guérison ? J'étais infirmier dans un hôpital de la Normandie et observais que des patients avec la même maladie, le même traitement et le même docteur évoluaient de manière très différente. Bon, chacun est chacun..: Exact, mon hypothèse consiste en ce que les maladies sont une métaphore des nécessités physiques et émotionnelles de notre corps. Quand il n'y a pas de solution extérieure à cette nécessité, il y a une solution intérieure. Est-ce cela la maladie pour vous?

Oui, une solution d'adaptation. Chaque organe du corps veut satisfaire sa propre fonction c'est-à-dire attraper de l'oxygène, des aliments... Si le corps veut manger, mais dans l'extérieur il y a une guerre et il ne l'obtient pas dans un délai raisonnable, un shock se produit. Et de là naît le conflit ? Oui, l'inconscient invente une voie supplémentaire de survie : un symptôme, qui est une solution ou une tentative de solution inconsciente et involontaire à ce shock vécu. Dans ce cas, la peur de mourir de famine attaquerait le foie. Donnez-moi un autre exemple : Une personne qui est toujours pressée, peut développer un nodule dans la thyroïde, plus de thyroxine est envoyé dans le corps et le métabolisme du corps augmente, elle sera plus rapide.

Mais être pressé est psychologique ? Tous ce que nous captons à travers les cinq sens, les capteurs neuro-végétatifs qui viennent de l'intérieur du corps, ce que nous pensons ou imaginons, se traduit en réalité biologique. Et cela provoque un symptôme ? S'il n'y a pas de solution concrète et consciente, oui. De la même façon, si nous écoutons quelque chose de très désagréable qui nous affecte nous puissions avoir une acidité dans l'estomac.

Et il y a là, donc quelque chose de très important dont on doit tenir compte. oui ... ? Le cerveau ne distingue pas entre le réel ou l'imaginaire. Un morceau de citron dans la bouche ou l'idée d'un morceau de citron dans la bouche, provoquent la même salivation. En fonction du sentiment particulier, le shock affecte une zone précise du cerveau, visible par le scanner, un organe et à une réalité énergétique

Une réalité énergétique ? Je suis une unité composée de quatre réalités inséparables : organique, cérébrale, psychique et énergétique. Il n'y a pas ni une seule, la cellule du corps qui échappe au contrôle du cerveau, et cela n'échappe pas au contrôle de la pensée, conscient ou inconscient; de façon à ce qu'une cellule du corps fasse courir ventre à terre le psychisme. Un shock est toujours accompagné d'un sentiment personnel qui se répercute les quatre niveaux biologiques. Et est-ce irréversible ? Quand nous trouvons la solution ces quatre niveaux guérissent simultanément.

Une patiente avait une douleur dans l'épaule. : "Depuis quand ?", je lui ai demandé.

"La première fois quand je me suis retrouvée seule avec mes enfants"

"Si tu es avec tes enfants, tu n'étais pas seule ! donc qui est-ce qui manque ?"

"Mon mari qui n'est jamais là, j'ai besoin de me sentir protégée ".

Quand elle a reconnu ce fait, la douleur a disparu.

Au cours d'une journée nous ne satisfaisons pas toutes nos nécessités fondamentales : Quand nous ne les satisfaisons pas, une émotion naît. Si cette émotion est libérée dans l'extérieur sous une forme artistique, à travers des mots, la danse ou les rêves... tout va bien. Quand l'événement n'est pas exprimé, il reste imprimé et le corps sera le dernier théâtre de cet évènement. Tout conflit provoque-t-il une maladie ? Non, il est nécessaire qu'il soit dramatique, imprévu, vécu dans une solitude et sans solution. Quand ces quatre critères sont donnés, le trauma se manifestera à travers de la biologie. Des émotions distinctes correspondent-elles à des organes distincts du corps ? Oui, tout que qu'a à voir de l'épiderme répond aux conflits de séparation; le squelette, à une dévalorisation; la vessie correspond aux conflits de territoire.

Pour les femmes droitières, les problèmes de sein gauche et l'épaule droite, correspondent aux problèmes avec les enfants et vice versa pour les gauchers;

les problèmes dans le seins droit et l'épaule droite correspondent pour les droitières aux problèmes dans le couple et vice versa pour les gauchères. Estomac et intestin ? Ne pas avoir ce qu’on veut et ne pas pouvoir digérer (accepter) ce qu’on doit accepter correspond au duodénum et à l'estomac. Le côlon correspond à un conflit avec quelque chose qui nous « dégoute » qui est « pourri ».

Le colon droit : problème d’identité : "on ne me respecte pas / on me laisse de côté".

Les reins c'est la perte de points de référence (génère la peur). Les os : un grave conflit de dévalorisation... Que doit- on faire pour être sain ? Revaloriser les émotions, en être conscient et les exprimer c'est-à-dire : danser plus souvent. Les gens sont beaucoup dans l'émotionnel mais ce sont généralement des émotions procurées : un football, un cinéma...

Un mal être partagé diminue de moitié, si on continue de le partager et il finira par disparaître.

Un bonheur se multiplie par deux s’il est partagé.

La colère et la violence s’expriment en grand. Un homme a peur, sa peur produit une rage et il la décharge sur sa femme !

Quand nous entrons en contact avec l'émotion authentique, elle se transforme; quand nous restons avec l'émotion superficielle, il n'y a pas de changement. Si l'homme se dit : "ok !j'ai peur", sa peur diminue de moitié.

Il faut juste prendre conscience de soi même !

*Christian Flèche est Psycho-Bio-Thérapeute, Master en PNL et en Langage Métaphorique, formateur réputé en Décodage Biologique, en France et à l'étranger. Il utilise aussi l’Hypnose Ericksonienne, les Cycles Biologiques Mémorisés, la Psychogénéalogie. C’est avant tout un chercheur de sens et des chemins de la guérison. Il dirige l'École de Décodage biologique, à Aix en Provence.

Directeur de la revue cause et sens


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